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| Titre : | La désinvolture est une bien belle chose : roman |
| Auteurs : | Philippe Jaenada, Auteur |
| Editeur : | SL : Mialet-Barrault Editeurs, DL 2024 |
| ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-08-042729-8 |
| Format : | 1 volume (486 pages) / couv. ill. en noir et blanc / 22 cm |
| Note générale : | Jacqueline Harispe, surnommée Kaki, s'est suicidée le 28 novembre 1953 alors qu'elle n'avait que 20 ans |
| Langues: | Français |
| Index. décimale : | 843 |
À partir de Dunkerque, Philippe Jaenada entame un tour de France par «les bords», jusqu'à Port-Vendres où il retrouve l'ancien café de son grand-oncle, Toulon où plane l'ombre de Thérèse, la mère de Kaky, la véritable héroïne du roman qui fascine l'auteur. L'Alsace où il pense à sa femme. De café en restaurant, d'hôtel en bord de mer, grâce à son GPS, il voyage en se remémorant l'ambiance qui régnait à Saint-Germain-des-Prés dans les années 1950 autour du café Moineau où se retrouvaient les jeunes, des artistes souvent paumés, drogués. Amis du situationniste Guy Debord (à qui le titre du livre est emprunté) ils ont signé le Manifeste de l'Internationale lettriste publié en janvier 1953, quelques jours avant la mort de Kaky (Jacqueline Harispe) tombée (poussée ?) par la fenêtre de l'hôtel où elle était avec Boris, son grand amour, enceinte sans le savoir, à vingt ans.
Grâce aux archives des commissariats, à un livre de photos d'Ed Van der Elsken, aux anciens articles de journaux, le narrateur mène une enquête très approfondie sur cette mort trouble, sur la personnalité de cette jeune fille assoiffée de sa seule liberté, et profondément perdue comme ses jeunes compagnons, vivant tous quasiment sans argent et écumant les bars du quartier. Philippe Jaenada (La Serpe, Les Notes septembre 2017) assemble avec minutie tous les détails, avec un peu trop de digressions sur lui-même dans son périple d'hôtels en cafés qui alourdissent le récit. Mais un roman biographique sensible à la délicate condition féminine d'alors, plein d'humour, sympathique, rendant bien l'atmosphère et la mentalité de l'époque, vraiment très détaillé. (V.A. et A.Le.) Abonnez-vous à nos analyses sur les-notes.fr
Grâce aux archives des commissariats, à un livre de photos d'Ed Van der Elsken, aux anciens articles de journaux, le narrateur mène une enquête très approfondie sur cette mort trouble, sur la personnalité de cette jeune fille assoiffée de sa seule liberté, et profondément perdue comme ses jeunes compagnons, vivant tous quasiment sans argent et écumant les bars du quartier. Philippe Jaenada (La Serpe, Les Notes septembre 2017) assemble avec minutie tous les détails, avec un peu trop de digressions sur lui-même dans son périple d'hôtels en cafés qui alourdissent le récit. Mais un roman biographique sensible à la délicate condition féminine d'alors, plein d'humour, sympathique, rendant bien l'atmosphère et la mentalité de l'époque, vraiment très détaillé. (V.A. et A.Le.) Abonnez-vous à nos analyses sur les-notes.fr
Exemplaires
| Code-barres | Cote | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|
| A0540607300 | R JAE D | Bouxières-aux-Dames | Romans | Disponible |
